
Gérard Bertrand : On est d'ailleurs, tu sais quoi là ? On est un Liverpool là et on célèbre en même temps le titre de champion parce que vous êtes a vu ça fait 30 ans qu'ils n'avaient pas gagné
Michael Jones : Parce que Manchester United est perdu !
Gérard Bertrand : C'est tellement beau et l'entraîneur et disais je suis submergé d'émotion et ils ont démarré dans une cave à Liverpool tous tes amis là.
Michael Jones : Voilà ils ont donc démarré à la caverne.
Gérard Bertrand : Tu sais j'ai un petit avantage sur toi aujourd'hui c'est que moi je vais pouvoir goûter ce que fait le chef quand tu peux goûter les vins. Je suis désole. Le chef il a fait un maquis de bœuf, c'est magnifique.
Chef Laurent Chabert : Maquis de bœuf, de l’aubrac bien sûr avec les huîtres de Tarbouriech j'ai rajouté un guacamole d'avocats et quelques herbes.
Gérard Bertrand : Donc est-ce que le beauf l'huître sont mélangés ou pas ?
Chef Laurent Chabert : Tout est mélangé.
Gérard Bertrand : Ça c’est génial !
Chef Laurent Chabert : Il y a des noisette et un petit peu de ciboulette et assaisonné au poivre de cassis
Michael Jones : Les huitres, ils sont cuits ?
Chef Laurent Chabert : Non, tout est crus, c’est comment un tartare.
Gérard Bertrand : Moi j'adore Michael, il faut que tu essayes ça parce que mélanger le bœuf, le tartare de bœuf, avec une huître c'est délicieux parce que déjà ça apporte là ça apporte le côté sale et iodé de l'huître, tu n’as pas besoin de salé la viande.
Michael Jones : J'ai un petit problème avec l’iode moi, et donc moi les huitres, en général, je les mange cuits au four.
Gérard Bertrand : Moi avec le rosé je me régale. C’est très bon ! Dis-moi, t'as fait quoi pendant le pendant cette période de confinement là, tu as créé un peu ?
Michael Jones : Non, en fait j'avais déménagé quelques semaines avant et j'avais prévu de leur construction d'un studio chez moi et donc j'avais reçu tous les matériaux mais les ouvriers ne sont pas venus et donc j'ai tout fait moi pas tout seul avec ma compagne on a fait tous les deux et on a pu le rendre fonctionnel pour répéter la semaine dernière parce qu'on voulait absolument faire la fête de la musique en direct.
Gérard Bertrand : D'ailleurs je ne sais pas si la régie m’entend, mais si vous m'entendez quand vous voulez, vous envoyer les images parce que Michael il a fait la fête de la musique au Hard Rock Café.
Musique en direct
Gérard Bertrand : C'est magnifique, je trouve que tu reviennes de plus en plus au rock, est-ce que c'est ce qui t'inspire le plus ? Parce que tu as fait de la pop, tu as fait des blues, tu as fait du rock, dans ton sac est ce que c'est qui coule ?
Michael Jones : Non mais moi la musique quand elle est bonne elle est bonne.
Gérard Bertrand : D'ailleurs j'ai vu ça dans le groupe Ta¨Phong lorsqu’ils ont remplacé Jean Jacques Goldman en 1981 c'est incroyable ça ! Déjà vous étiez copains alors que l'un et l'autre vous étiez au début de votre carrière tout début.
Michael Jones : Totalement, en plus on avait déjà une trentaine d'années.
Gérard Bertrand : Ouais mais Jean-Jacques il a démarré dans les années vraiment 80 et là où il a explosé.
Michael Jones : Oui je sais on avait 30 ans.
Gérard Bertrand : Parce que vous jouiez ensemble déjà avant ? Où c'est là où tu as pris sa place ?
Michael Jones : On s'est rencontrés dans le groupe Taï Phong.
Gérard Bertrand : Avez essayé de le recréer le groupe pour un concert un truc ou pas ?
Michael Jones : Le groupe existe encore, mais sans nous.
Gérard Bertrand : Et qu'est-ce qu'ils jouent toujours du rock ?
Michael Jones : Ils continuent à faire des rocks symphoniques comme ils faisaient à l'époque, ils continuent à faire les mêmes chansons mais non moi je suis passé à autre chose.
Gérard Bertrand : C’est quoi autre chose ?
Michael Jones : Ce que je fais maintenant vous voyez que le groupe s'est séparé parce que Jean Jacques et moi n’étions pas d’accord avec la direction que prenait le groupe, nous écoutions AC/DC alors que les autres écoutaient Genesis.
Musique en direct
Gérard Bertrand : J'adore parce que moi j'avais 14, 15 ans je commençais à faire les fêtes des villages et donc on mettait ça parce que je me faisais emmener par mes potes en voiture, on mettait ça a fond, et quand ont arrivé, on avait mal à la tête déjà parce que la musique était a fond dans la radio.
Michael Jones : La bière française est plus forte que la bière britannique. Une bière britannique fais 3 degrés à peu près, donc ils en boivent beaucoup mais ça prend moins la tête.
Gérard Bertrand : Et je tu sais je suis copain avec John Bon Jovi puisqu'on fait en fait un rosé ensemble aux Etats Unis et tu connais un peu leur carrière incroyable. Il vient en vacances en France parce qu'il y a qu'en France qu'il n'est pas connu dans le monde. Parce que quand je vais à New York avec lui au restaurant il ne peut pas passer dix minutes sans que quelqu'un vient à lui déranger.
Michael Jones : Pourtant il est connu en France mais c’est le groupe qui est connu.
Gérard Bertrand : Mais c'est incroyable parce qu'il y a bientôt 60 ans aussi et puis alors il a une pêche et c'est vraiment dans le rock jusqu'à 40 ans tu peux te permettre un peu toutes les excentricités mais après les gars font gaffe.
Gérard Bertrand : Alors chef qu'est-ce qu'on va alors on va on va trinquer avec ce magnifique vin qui s'appelle Art de Vivre qui est un Languedoc, bouteilles en argile, Languedoc 2015 qui a été élu dans le top 100 des meilleurs vins du monde, qui est vinifié et vieilli en fût de chêne pendant 12 mois qui est un Languedoc donc Grenache, Syrah, Mourvèdre, vieilles vignes et petit rendement.
Michael Jones : Il n’est pas très loin de Côte du Rhône ?
Gérard Bertrand : Ce sont à peu près les mêmes assemblages il y a 50 % Grenache, Syrah et Mourvèdre voit ce sucrosité cette suavité et ce goût épicé et surtout de garrigue.
Michael Jones : Il est assez doux.
Gérard Bertrand : Oui ça s'appelle la sucrosité du Grenache, une suavité qui va bien avec le Grenache ça tu vois avec une côte de bœuf steak au poivre ou même un canard tu vois on va très bien.
Michael Jones : Et avec une côte de bœuf, il faut que soit maturé.
Gérard Bertrand : Alors chef, combien de jours la côte de bœuf ?
Chef Laurent Chabert : 28 jours
Gérard Bertrand : 28 jours entiers, un cycle de la lune.
Michael Jones : Moi je préfère 30, 40 jours.
Gérard Bertrand : Après tu développes un peu des arômes plus fort et donc la cuisson est fondamentale, mon copain Gilles Goujon qui est le copain de Laurent aussi, il a un bœuf de Galice qu’il élève 12 semaines. Mais moi je suis comme Laurent je préfère en 28 jours.
Michael Jones : Parce que vous mangez saignent ?
Gérard Bertrand : Oui exactement.
Michael Jones : Moi je mange à point.
Gérard Bertrand : C’est normal tu es gallois donc personne n'est parfait.
Michael Jones : Ça fait moins grossir.
Gérard Bertrand : Oui c’est vrai.
Michael Jones : Je le saisis puis je le mets au four pour que la viande se relaxent que ça s'étale un peu et enfin je la saisie à nouveau avant de servir. Je mets à cuire quand on mange l'entrée et dès qu'on a fini je sers.
Gérard Bertrand : C’est 20 minutes. Alors que nous quand on fait une viande saignante c'est quoi deux trois minutes ?
Chef Laurent Chabert : C'est pareil en fait il y a un temps de repos on l'a fait saisir.
Gérard Bertrand : A quel degré tu cuis la viande ? Pour les nos amis qui nous écoutent.
Chef Laurent Chabert : La saignante il faut qu'elle soit à 56 58 degrés, on l'a fait saisir et on va la mettre en basse température à 120 degrés et pendant 10 minutes.
Gérard Bertrand : Ses parents ils sont éleveurs et donc Laurent il s'est occupée des vaches pendant toute son adolescence donc ça lui plaît il a une passion il élève lui-même la viande donc je vous recommande si vous venez à vos Château l'Hospitalet au restaurant nous demander le bœuf.
Michael Jones : Je vais y aller au festival mais je ne joue pas !
Gérard Bertrand : Tu es invité, viens passer quelques soirées avec nous. Pour ceux qui sont là donc je me répète du 21 au 26 juillet dont il y a Patrick Bruel deux soirs il y a Cali, Kimberose, Christophe Maé et Jean-Baptiste Guégan, dont vous êtes les bienvenus il y a plus que quelques places puisqu'il y a déjà de trois soirées complètes mais vous aurez surtout Michael Jones qui sera au premier rang, qui va faire monter la température.
Gérard Bertrand : Alors Chef, il nous a fait quoi le Chef ?
Chef Laurent Chabert : J’ai fait la seiche à la sétoise donc là j'en ai juste fait, saisir rapidement le blanc de seiche ici dans la pomme de terre en farsi à la teille sétoise donc c'est à dire on a cru pendant quatre heures là les tentacules de seiche avec la soupe de poisson delà de la tomate donc ensuite émission pommes de terre une émission aïoli un croustillant pomme de terre et j’ai rajouté des graines de persil qu’été en fleur.
Gérard Bertrand : C'est bon la créativité !
Michael Jones : C’est magnifique !
Chef Laurent Chabert : Merci !
Michael Jones : Alors le problème c'est que pour accompagner ce plat il aurait fallu que je chante une chanson, mais le problème c'est que je ne rendrais pas service à Brassens si je le faisais.
Gérard Bertrand : Mais tu peux nous faire autre chose, moi j'aime le rock. Qu'est-ce que tu fais ? Un petit truc-là qui déménagent parce qu’on est vendredi soir il est 19h20 vas-y !
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Michael Jones : Ça je les fais parce que c'est un honneur à Little Richard qui nous a quittés il y a quelques jours. On vient de perde un des plus grands records de tous les temps.
Gérard Bertrand : Est-ce que tu aimes la soul ?
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Gérard Bertrand : Tu en penses quoi toi delà de la menace de l'apport de la technologie dans la musique est-ce que c'est un plus ou est-ce que c'est juste quelque chose qu'il faut utiliser comme du sel et du poivre ?
Michael Jones : Alors moi j'utilise la technologie moderne mais comme si c'était à l'ancienne c'est à dire que j'ai laissé l'informatique remplacer l’accompagnement donc j'ai juste remplacé le numérique et l'analogique de la bande avec le numérique mais j'ai continué à jouer mes instruments comme j'ai joué longtemps aujourd'hui le problème c'est que le problème ou non la différence surtout c'est que à mon époque, il fallait apprendre à jouer d'un instrument, il fallait apprendre à faire de la musique, aujourd'hui n'importe qui peut se brancher à un ordinateur il peut faire de la musique sans connaître quoi que ce soit donc ça laisse des fois des chefs-d'œuvre mais des fois des choses de qualité un petit peu … On n'a pas besoin de connaître la musique aujourd'hui pour en faire mais par contre on a pu en tout cas beaucoup de jeune artiste aujourd'hui non pas là connaissance de tout ce qui se passait avant ils ont ils n'ont pas la même culture que nous la grande différence elle est là.
Gérard Bertrand : Et toi tu as travaillé de manière académique quand tu as appris le solfège ou tu étais plutôt tout seul sur ta guitare pour apprendre à jouer ?
Michael Jones : Alors les deux, c'est à dire que j'ai appris le solfège à l'école parce que je suis gallois le premier chose qu'on apprend c’est à chanter. Par exemple, tout le monde pense que c'est l'hymne national chanté au stade.
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Michael Jones : Tous les gallois apprend à chanter à l'école donc on apprend le solfège pour chanter bas par contre pour la guitare il a fallu que j'apprenne tout seul qui a eu les deux.
Gérard Bertrand : Toi tu joues tu joues un peu tous les instruments aujourd'hui, tu joues au piano. Quand tu composes, tu composes à la guitare ?
Michael Jones : Les deux, j'ai beaucoup de chansons que j'ai fait au piano aussi y'a pas de en fait souvent c'est dans la tête d'abord c'est la musique et l'art de la mélodie dans ta tête après je cherche soi un instrument ou un autre peu importe. Par contre l'instrument que j'utilise quand je cherche l'arrangement va donner la direction dans laquelle je vais prendre.
Gérard Bertrand : Et en général tu fais la musique et les paroles après où ça t'arrive la fois d'avoir les paroles et puis de mettre la musique derrière ?
Michael Jones : Il y a les trois, c'est à dire qu’il y a d'abord la musique après j'ai cherché à faire le texte parfois c'est un texte qui me vient et je fais la musique dessus et des fois les deux viennent au même temps.
Gérard Bertrand : Est-ce que là, en l'improvisation en buvant un verre de vin rouge et en moyens dans les chefs cuisinent et à une idée qui t’viens ?
Michael Jones : J'ai envie de me faire à manger en fait.
Gérard Bertrand : Alors la pendant que le chef finisse, il prépare son dessert là on va goûter un cépage incroyable c'est le blanc, on va finir sur une Clairette du Languedoc d’Adissan, tu vois la bouteille magnifique parce qu'en fait c'est l'hommage aux grecs, ils sont arrivés à Narbonne-plage il y a 24 siècles avec une amphore ils ont amené aussi quelques vins de chez eux et ses cépages qui s'appelle la Clairette. On a décidé de remettre ce cépage au goût du jour. Le Chef a osé parce qu'il veut mettre ce même vin avec un petit dessert, dans le vin il y a un petit peu de sucre résiduel surtout il y a un goût unique que tu vois ce goût de clairette qui est très bon très typé avec une bonne acidité.
Michael Jones : En honneur de Léonor.
Gérard Bertrand : Voilà, parce que Léonor d’Aquitaine a contribué à la diffusion de la Clairette n'est-ce pas ? Alors Chef !
Chef Laurent Chabert : J’ai préparé un millefeuille de framboise, avec une ganache à la fève de Tonka et une réduction framboise également.
Gérard Bertrand : Alors je vais goûter ça avec cet instrument est un peu spécial qui s'appelle la Georgette alors c'est un petit clin d'œil parce que c'est une cuillère qui fait fourchette qui peut faire couteau sur la tranche qui vient d'Ariège et qui est vendu aujourd'hui dans le monde entier dans tous les plus beaux restaurants vous voyez la Georgette c'est très beau et ça va très bien pour différents plats mais avec le dessert en particulier.
Michael Jones : Je salive déjà en bouche parce que la framboise est mon fruit rouge préféré.
Gérard Bertrand : C'est incroyable, et puis la bonne idée du chef c'est que la framboise et les très acidulé donc là il tonifié la bouche et on donne envie de boire un peu de vin derrière c'est pour ça que seul un blanc qui avec un peu de sucre résiduel il marche très bien avec.
Michael Jones : Il doit être très bon avec un fromage aussi.
Gérard Bertrand : Avec des fromages à pâte persillée c’est divin dont je vous recommande la Clairette du Languedoc d’Adissan, sont des vignerons formidables avec qui on travaille à un partenariat et avec qui on a révolutionné la façon de faire ce vin et qui a retrouvé je dirais une nouvelle jeunesse.
Michael Jones : Je dirais même ça ne doit pas être mauvais avec un foie gras.
Gérard Bertrand : Alors, avec le foie gras en fait tout est possible c'est comme avec la musique, parce que tu peux prendre un vin doux naturelle, tu peux prendre un vin rouge corsé où tu peux prendre un vin blanc légèrement moelleux donc ça dépend comment le foie gras est préparé moi je l’aime mi-cuit si tu veux, mais ça va très bien avec le foie gras. C’est lequel ton plat français préféré Michael ?
Michael Jones : Je vais dire banalement, pot-au-feu.
Gérard Bertrand : Tu vas faire plaisir à maman Geneviève parce que pendant 20 ans tous les samedis midi j'avais le pot-au-feu et on c'est vrai que chaque fois que je vais manger chez elle, je lui dis, est-ce que tu peux me faire un pot-au-feu. Maintenant le topinambour et le rutabaga sont revenus un peu la mode et le topinambour c'est bon mais c'est un petit goût d'artichaut du c'est donc ce n’est pas mon truc.
Michael Jones : Le navet s'effondre un petit peu.
Gérard Bertrand : Alors je voudrais dire deux mots, parce que on s'est rencontrés l'an dernier pour les Camins del sol avec une personne extraordinaire à Narbonne. Anne Marie donc que tu connais bien et je voudrais lui faire un petit clin d'œil parce que s’occupent d’enfants qui ont quelques soucis de santé et c'est vrai que tu es contribué beaucoup à t’en occuper de cette association il y avait Patrick Fiori aussi qui était venu avec toi et je te félicite et je te remercie parce que la solidarité l'exemplarité puis quand on peut donner de soi même pour ça c'est pour l'enfance c'est formidable voilà donc merci.
Michael Jones : Merci à toi, parce que sans toi, ça ne sera pas possible non plus.
Gérard Bertrand : C’est gentil, si tu veux on contribue aussi puis on aide aussi pour que pour que les associations qui s'occupent des enfants puissent continuer à rendre service c'est le plus important et surtout donner une lueur d'espoir quand on est fatigué ou quand on n’est pas en bonne santé, donc on va trinquer à la santé d'ailleurs parce que c'est important et puis à la renaissance et puis au partage et au prochaine festival live de musique, on compte sur toi.
Michael Jones : Le vin, ils sont très bons, ils sont des vins qui sont crée dans le respect de l'environnement et ça c’est très important moi je suis venu j'ai vu comment vous faisiez les vins sur place et il faut préserver l'environnement. J'espère que le confinement, vas pousser à changer leurs comportements, qu’on fasse à manger, et que on pense aux abeilles, c'est hyper important.
Gérard Bertrand : C’est gentil tu me passes le ballon comme on dit parce qu'en fait on est le leader mondial du bio et de la biodynamie et on a développé une nouvelle gamme qui s'appelle bee friendly, donc il respecte les abeilles dans une vallée formidable à l’est de Nîmes. Voilà donc c'est important de porter ce message de la biodiversité.
Gérard Bertrand : Alors qu'est-ce que tu nous fais comme petits morceaux pour avant de nous séparer là puisque l'heure a sonné déjà malheureusement le temps passe vite et avec le chef et tous nos amis qui sont là voilà donc on est prêt pour recevoir ce dernier message.
Michael Jones : Je suis obligé de dire….
Musique en direct
Gérard Bertrand : Merci et à bientôt Michael et à la semaine prochaine même heure ! Et on se voit très bientôt pour le festival. Chao !
Chef Laurent Chabert : Chao !
Michael Jones : A très bientôt, chao !